Prendre le bus à Omaha
Les transports en commun à Omaha sont limités à un service de bus public. Une ligne de bus (la 16) dessert l’aéroport, mais ne circule que quelques bus le matin et le soir. Une fois en ville, il est possible de se déplacer à Omaha en bus, mais cela nécessite une certaine planification.
Avant votre voyage, rendez-vous sur le site du Métro. Là, vous pouvez trouver la carte de tous les itinéraires et afficher tous les horaires. Le site a un « planificateur de voyage » mais les résultats peuvent être peu fiables. Tous les tableaux horaires peuvent être téléchargés au format PDF.
Le coût pour prendre l’autobus est de 1,25 $ pour chaque voyage. Les transferts sont de 0,05 $, mais ne peuvent pas être utilisés pour une escale ou un aller-retour. Les cartes de dix tours et les cartes de 30 jours sont disponibles sur le site Web ainsi que dans les environs d’Omaha.
Dans le passé, les bus ont un bon rendement à l’heure, et les conducteurs sont généralement polis et serviables.
Maintenant, avec le nouveau système d’itinéraires rationalisé, l’accessibilité aux personnes handicapées et aux personnes âgées est considérablement réduite. Dans de nombreuses régions, le service est au mieux inexistant et au pire irrégulier. De nombreux arrêts de bus n’offrent aucune protection contre les intempéries. Ceux qui le font sont soit des abris vieillissants, endommagés, soit des chefs-d’œuvre archétéchuraux de pointe dans des zones où personne n’utilise le transport en commun.
La majeure partie des bus sont vieillissants, des reliques sales puant dans la vieille graisse alimentaire et l’excès de moteur. Les bus sont en retard ou n’arrivent jamais du tout. Les horaires des itinéraires ne sont affichés nulle part aux arrêts, ce qui rend l’un dépendant des smartphones avec accès Web pour naviguer dans le système.
On peut s’attendre à des bus relativement nouveaux et un peu propres dans les zones touristiques, en particulier lors d’événements majeurs tels que les College World Series. Le service au centre-ville est équitable, mais en réalité inutile car tout ce qui vaut la peine d’être vu se trouve à six pâtés de maisons.